Dictionnaire de psychanalyse

[Freud] distingue du délire comme retour du refoulé un délire secondaire, le délire d’interprétation, e lak [Freud] kemm etre an ambren evel distro an arvoustred, hag un ambren eilvedel, an ambren-desteriañ (sl. ALTÉRATION DU MOI) ; les pulsions sexuelles qui ne deviennent indépendantes que secondairement, al luzadoù revel, na vint dizalc’h nemet a eil lank (sl. ÉTAYAGE) ; ce n’est donc que secondairement que la sexualité devient autonome, n’eo nemet a eil lank e teu ar revelezh da vezañ emren (sl. ÉTAYAGE) ; le fait que le déplacement sur un objet phobique est secondaire au surgissement d’une angoisse libre, non liée à un objet, an devoud e c’hoarvez an treuzlec’hiañ war un ergerc’henn arur a eil lank goude diflukadur an enkrez diere, distag diouzh nep ergerc’henn (sl. HYSTÉRIE D’ANGOISSE) ; l’identification primaire s’oppose aux identifications secondaires qui viennent s’y superposer, an hevelebadur kentael a eneber ouzh an hevelebadurioù eilvedel a zeuy war-c’horre da c’houde (sl. IDENTIFICATION PRIMAIRE) ; si elle peut être “désexualisée”, c’est toujours secondairement, mar gell bezañ “direvelaet”, ez eo bepred a eil lank (sl. LIBIDO) ; une fonction secondaire imposée par l’urgence de la vie, un arc’hwel eilvedel rediet gant difrae ar bevañ (sl. PRINCIPE DE CONSTANCE) ; les pulsions de mort seraient secondairement dirigées vers l’extérieur, e ve al luzadoù a varv troet a eil lank etrezek an diavaez (sl. PULSIONS DE MORT) ; mais, pour Bleuler, la Spaltung est secondaire à un déficit qui est une véritable désagrégation des processus psychiques, evit Bleuler avat ez eo ar Spaltung eilvedel d’un divigad a zo ur gwir zispenn eus an argerzhioù bred (sl. SCHIZOPHRÉNIE).