Dictionnaire de psychanalyse

il est nécessaire d’admettre qu’il n’existe pas dès le début, dans l’individu, une unité comparable au moi, ret eo degemerout ne vez ket adalek an derou, en hinienn, un unanded heñvel ouzh ar me (sl. AUTO-ÉROTISME) ; les pulsions sexuelles, jusqu’alors isolées, se sont désormais rassemblées en une unité, al luzadoù revel, digenvez betek neuze, zo dastumet pelloc’h d’ober un unanded (sl. AUTO-ÉROTISME) ; l’objet étant alors le moi comme unité, an ergerc’henn o vezañ neuze ar me evel unvez (sl. ORGANISATION DE LA LIBIDO) ; les pulsions de vie cherchant au contraire à maintenir et à créer des unités vitales, luzadoù ar vuhez o strivañ, en eneb, da virout ha da grouiñ unvezioù bev (sl. PRINCIPE DE CONSTANCE) ; elles tendent à constituer des unités toujours plus grandes et à les maintenir, tennañ a reont da amparañ ha da arzerc’hel unvezioù bepred brasoc’h (sl. PULSIONS DE VIE) ; sur un mode “magico-symbolique” où il y a unité entre l’objet satisfaisant […] et son symbole […], en ur mod “hudel-argelel” ma vez en arun an ergerc’henn vozius […] hag an argel anezhi […] (sl. RÉALISATION SYMBOLIQUE) ; le petit enfant […] anticipe l’appréhension de son unité corporelle, ar maban […] a ragarvez unanded e gorf (sl. STADE DU MIROIR).