Dictionnaire de psychanalyse

l’affect sexuel déplaisant, ar c’hantaezad revel divlizus (sl. APRÈS-COUP) ; c’est une trace mnésique et non une perception qui libère du déplaisir, un c’hounlerc’h eo ha n’eo ket ur verzadenn a vez o tilaoskiñ divliz (sl. APRÈS-COUP) ; [excitation] incompatible avec l’équilibre du moi, et de ce fait, déplaisante pour lui, [broud] digempadus gant kempouez ar me ha, da heul, divlizus dezhañ (sl. DÉFENSE) ; l’ensemble de l’activité psychique aurait pour but d’éviter le déplaisir et de procurer le plaisir, holl oberiezh ar bred a ve dezhi da bal hepkoriñ an divliz ha kaout bliz (sl. PRINCIPE DE PLAISIR) ; on notera que Freud employa d’abord le terme “principe de déplaisir”, merkomp e rae Freud da gentañ gant an termen “pennaenn an divliz” (sl. PRINCIPE DE PLAISIR) ; peut-on parler par exemple d’un “plaisir inconscient” qui s’attacherait à un symptôme déplaisant ? ha komz a c’haller da skouer eus ur “bliz diemouez” stag ouzh un azon divlizus ? (sl. PRINCIPE DE PLAISIR).