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Dictionnaire de psychanalyse

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MOTEUR.

la transposition d’un conflit psychique dans des symptômes somatiques moteurs (paralysie par exemple) ou sensitifs (anesthésie ou algies), treuzlakadur ur c’henniñv bred e stumm azonoù kreudel, loc’hadel (seizi da skouer) pe santadel (aneraez, gostoù) (sl. CONVERSION) ; mais ils sont à l’origine de tout conflit et le moteur de toute dialectique, nemet emaint en orin pep kenniñv hag e keflusk pep daelerezh (sl. COUPLE D’OPPOSÉS) ; Freud distingue […] détresse motrice et […] détresse psychique, Freud a lak kemm etre […] ankalez loc’hadel hag […] ankalez bredel (sl. DÉTRESSE) ; y produisant des phénomènes moteurs ou sensitifs, o tevoudañ anadennoù loc’hañ pe santout (sl. INNERVATION) ; processus dynamique consistant dans une poussée (charge énergétique, facteur de motricité) qui fait tendre l’organisme vers un but, argerzh dialuskel o c’hoarvezout eus ur bount (bec’hiad gremm, gwereder-loc’hañ) a ra d’ar bevedeg skeiñ etrezek ur pal (sl. PULSION) ; la quantité d’excitation reçue par le neurone sensitif est censée être entièrement déchargée à l’extrémité motrice, ar c’hementad broud degemeret gant an neuron-santout a ve diskarget en e bezh e dibenn an neuron-loc’hañ (sl. PRINCIPE D’INERTIE) ; substitution à la décharge motrice d’une action visant à une transformation appropriée de la réalité, ouzh an diskarg loc’hadel ez eus erlec’hiet un ober o tennañ da dreuzfurmiñ azas an draelezh (sl. PRINCIPE DE RÉALITÉ).