Dictionnaire de psychanalyse

c’est exact pour le symptôme hystérique et sans doute aussi pour tous les faits névrotiques, dik eo evit an azon darfell ha moarvat ivez evit an holl zevoudoù neurozel (sl. ACCOMPLISSEMENT DE DÉSIR) ; les schizophrénies présentant des symptômes névrotiques, ar skizofreniezhoù dezho azonoù neuroz (sl. CAS-LIMITE) ; c’est en ce sens que Freud voit dans l’effroi une condition déterminante de la névrose traumatique parfois désignée comme névrose d’effroi, dre se e ra Freud eus ar saouzan un amplegad eus an neuroz daraezel anvet a-wechoù neuroz saouzanel (sl. EFFROI) ; il critique l’usage trop large du terme d’introversion qui conduit Jung à connoter la psychose comme “névrose d’introversion”, abegiñ a ra boaziadur re ledan an termen “entroadur” pa zegouezh gantañ Jung da gennotañ ar psikoz evel “neuroz entroadur” (sl. INTROVERSION) ; il connote la psychose comme “névrose narcissique”, kennotañ a ra ar psikoz evel “neuroz narkisek” (sl. INTROVERSION) ; symptômes névrotiques, azonoù neurozel (sl. NÉVROSE) ; le caractère névrotique du moi, neurozegezh ar me (sl. NÉVROSE) ; un compromis dont le sujet tire dans sa position névrotique un certain profit, un treuzvarc’had a zegas d’ar gouzrec’h en e savlec’h neurozek ur gounid bennak (sl. NÉVROSE) ; névrose artificielle résultant du transfert, neuroz danzeadel o tisoc’hañ diouzh an treuzdoug (sl. NÉVROSE DE TRANSFERT) ; les névroses se présentent rarement à l’état pur, dibaot e kaver neurozioù pur (sl. NÉVROSE MIXTE) ; la ligne de clivage entre régressions névrotiques et psychotiques passe entre ces deux phases, etre an daou brantad emañ ar vevenn etre an argizañ neurozel hag an argizañ psikozel (sl. STADE SADIQUE-ANAL) ; à l’occasion de la première Guerre mondiale, Freud put étudier les névroses de guerre et établir la notion de névroses traumatiques, da-geñver ar Brezel-bed kentañ en devoe Freud an dro da studiañ an neurozioù brezel ha da savelañ keal an neurozioù daraezel (sl. TRAUMA, TRAUMATISME (PSYCHIQUE)).