Dictionnaire de psychanalyse
OPÉRATION.
le moi utilise alors le refoulement, mode de “défense pathologique” où il opère selon le processus primaire, ar me neuze a ra gant an arvoustrañ, mod “difenn kleñvedel” ma wered hervez an argerzh kentael (sl. APRÈS-COUP) ; opérations autoplastiques, alloplastiques, concrètes, physiologiques, symboliques, gwezhiadennoù aotoplastek, alloplastek, trael, bevedel, argelel (sl. AUTOPLASTIQUE — ALLOPLASTIQUE) ; la pensée, l’action, l’opération défensive, ar mennoz, an ober, ar wezhiadenn-difenn (sl. COMPULSION, COMPULSIONNEL) ; ensemble d’opérations dont la finalité est de réduire toute modification […], teskad gwezhiadennoù a zo o fal diren nep kemmadenn […] (sl. DÉFENSE) ; incorporation et introjection sont des prototypes de l’identification ou du moins de certains de ses modes où le processus mental est vécu et symbolisé comme une opération corporelle, ar gougorfañ hag ar gougantañ zo pimpatromoù an hevelebiñ, pe da nebeutañ eus modoù ’zo anezhañ ma’z eo buhezet hag argelet an argerzh bred evel ur gwezhiañ korf (sl. IDENTIFICATION) ; différents types d’opérations dans lesquels peut se spécifier la défense, furmoù gwezhiañ diseurt kemeret gant an difenn (sl. MÉCANISMES DE DÉFENSE) ; il reste à savoir si un tel concept reste opérationnel, da c’houzout eo hag oberiadek e chom un hevelep meizad (sl. MÉCANISMES DE DÉFENSE) ; l’opération défensive n’est neutralisée que pour autant qu’une opération de dégagement lui est substituée, ne vez neptuet an difennadenn nemet e kement ma teu en he lec’h un ezwezhiadenn (sl. MÉCANISMES DE DÉGAGEMENT) ; une activité de dégagement du moi par rapport à ses propres opérations défensives, un oberiezh-ezwezhiañ a-berzh ar me diouzh e zifennadennoù e-unan (sl. MÉCANISMES DE DÉGAGEMENT) ; dans les opérations défensives, da-geñver ar gwezhiadennoù-difenn (sl. MOI) ; une énergie capable d’opérer au sein d’un appareil psychique, ur gremm gouest da wezhiata e-barzh ur benvegad bred (sl. MOI) ; parfois Freud fait intervenir la réalité comme une quatrième instance opérant dans la dynamique du conflit, a-wechoù e ra Freud eus an draelezh ur pevare ensav oc’h emellout e dialusk ar c’henniñv (sl. MOI) ; il est difficile de mettre en évidence l’opération consistant en une telle “projection” de l’organisme dans le psychisme, diaes eo lakaat a-wel ar wezhiadenn ma c’hoarvezfe drezi hevelep “bannidigezh” eus ar bevedeg er bred (sl. MOI) ; opération par laquelle le sujet cherche à repousser et à maintenir dans l’inconscient des représentations […], gwezhiañ ma klask drezañ ar gouzrec’h argas hag arzerc’hel en diemouez derc’hadoù […] (sl. REFOULEMENT) ; d’emblée, Freud décrit le refoulement comme une opération dynamique, diwar an derou e teskriv Freud an arvoustrañ evel ur gwezhiañ dialuskel (sl. REFOULEMENT) ; opération psychique qui tend à faire disparaître de la conscience un contenu déplaisant ou inopportun, gwezhiadur bred a denn da lemel diouzh an emouezañ un endalc’hed displijus pe digoulz (sl. RÉPRESSION) ; ensemble des opérations qui transforment les matériaux du rêve […] en un produit, teskad ar gwezhiadennoù o treuzfurmiñ dafar an hunvre […] en un dedaolad (sl. TRAVAIL DU RÊVE) ; le travail psychique dans la formation du rêve se divise en deux opérations, c’hwel ar bred e furmidigezh an hunvre zo daou wezhiadur ouzh e ober (sl. TRAVAIL DU RÊVE).