Dictionnaire de psychanalyse
PHYSIQUE.
la violence physique, ar feulster korf (sl. AGRESSIVITÉ) ; lors de l’accès à un autre degré du développement psychophysique, ur wech diraezet un derez all eus an diorreadur bredvevedel (sl. APRÈS-COUP) ; si Freud avait pu donner validité à la science “physique” du psychisme qu’il prétendait fonder, p’en dije Freud gallet reiñ gwiriegezh d’ar ouezoniezh alvezel eus ar bred a venne diazezañ (sl. ÉPREUVE DE RÉALITÉ) ; en imitant physiquement ou moralement la personne de l’agresseur, o trevezañ a-gorf pe a-spered person an argader (sl. IDENTIFICATION À L’AGRESSEUR) ; une tension physique qui ne peut pas passer dans le psychique et reste alors sur une voie physique, un tennder kreudel nad eo ket evit tremen er vredelezh hag a chom gant ur forzh kreudel (sl. NÉVROSE D’ANGOISSE) ; l’intention de Freud et de Breuer était d’étendre à la psychologie et à la psychophysiologie les principes généraux de la physique, amboaz Freud ha Breuer oa astenn d’ar vredoniezh ha d’ar vredvevedouriezh pennaennoù hollek ar fizik (sl. PRINCIPE DE CONSTANCE) ; le principe d’inertie, en physique, s’énonce ainsi : […], er fizik ez eo dezrevellet pennaenn an anniñv evel-henn : […] (sl. PRINCIPE D’INERTIE) ; de façon plus précise, ce “moment somatique” est un processus physico-chimique, ent resisoc’h ez eo al “lankad kreudel”-se un argerzh fizikel-kimiek (sl. SOURCE DE LA PULSION) ; l’entropie dans les systèmes physiques, an entropiezh er reizhiadoù alvezel (sl. VISCOSITÉ DE LA LIBIDO).