Dictionnaire de psychanalyse
PORTER.
ce qu’il y a d’irréversible pour le sujet à un moment de son histoire à porter son choix sur un objet déterminé, an dieiltro ez eo evit ar gouzrec’h en un ampoent eus e istor treiñ ouzh un ergerc’henn resis (sl. CHOIX D’OBJET) ; le clivage de l’objet est à l’œuvre dans la position paranoïde-schizoïde où il porte sur des objets partiels, c’hoarvezout a ra disfaout an ergerc’henn er savlec’h paranoidel-skizoidel ma toug war ergerc’hennoù darnel (sl. CLIVAGE DE L’OBJET) ; la défense, d’une façon générale, porte sur l’excitation interne […]. Électivement, elle porte sur les représentations […] auxquelles est liée l’excitation, dre-vras en devez an difenn da herzel ouzh ar broud diabarzh […]. Ent dibarek e toug war an derc’hadoù […] ez eo ar broud ereet outo (sl. DÉFENSE) ; la défense peut aussi porter sur les affects, an difenn a c’hell ivez treiñ ouzh ar c’hantaezadoù (sl. DÉFENSE) ; marquée et infiltrée par ce sur quoi elle porte en dernier ressort — la pulsion, merket hag intret gant ar pezh a vuk outañ e dibenn dezrann — al luzad (sl. DÉFENSE) ; en tant que le déni porte sur la réalité extérieure, e kement ma toug ar gourzhodiñ war an draelezh (sl. DÉNI).