Si l'on serre trop le vent, la vitesse diminue et par conséquent la dérive augmente ; la résistance à l'avancement augmente et par conséquent la vitesse diminue encore, etc. Le bateau s'arrête, tombe en travers et c'est le décrochage. L'écoulement de l'air sur les voiles, celui de l'eau sur la dérive sont devenus turbulents. Pour sortir de l'impasse il faut tout de suite choquer largement les écoutes pour débarrasser les voiles des tourbillons et abattre généreusement pour que la dérive se dégage des remous qui l'entourent.
Mar touzer re an avel, e tigresk an tizh ha dre se e kresk an diruz ; an hersad a gresk ha dre se e tigresk c'hoazh an tizh, h.a. Ar vag a chom a-sav, a zeu a-dreuz hag an diskrog a c'hoarvez neuze. Diver an aer war ar gouelioù, hini an dour war an angell zo aet strafuilhat. Evit dienkañ e ranker diouzhtu laoskaat lark ar skoutoù da zieubiñ ar gouelioù diouzh an troennoù hag olentiñ bras evit distrobellañ an angell diouzh an disvarroù a zo en dro dezhi.